Suède, la famille Sandell, une famille en apparence bien sous tout rapport et qui a tout pour réussir. Adam, le père, est un pasteur respecté. Ulrika, la mère est une avocate brillante. Stella, la fille, vient compléter le tableau parfait à tout juste 19 ans. Une brèche va venir rompre ce décor idyllique, lorsque la police va arrêter Stella et l'accuser du meurtre d'un homme bien plus âgé qu'elle.
On alterne entre les trois personnages à la recherche de la vérité...
À seize ans, Tessa est retrouvée agonisante sur un tas d'ossements humains et au côté d'un cadavre, dans une fosse jonchée de milliers de marguerites. Partiellement amnésique, seule survivante des " Marguerite " – surnom que les journalistes ont donné aux victimes du tueur en série –, elle a contribué, en témoignant, à envoyer un homme dans le couloir de la mort. Terrell Darcy Goodwin, afro-américain, le coupable parfait pour la juridiction texane.
Presque vingt ans ont passé. Aujourd'hui, Tessa est une artiste et mère célibataire épanouie. Alors, le jour où elle découvre un parterre de marguerites planté devant sa fenêtre, le doute l'assaille... Son " monstre " serait-il toujours en cavale ?
Prenant !
« Dans Les Guerres intérieures, Valérie Tong Cuong explore les méandres d'un cas de conscience obsédant et les pièges de la culpabilité. La lâcheté ordinaire, la domination du désir et de la peur et le dépassement de soi sont au coeur de ce livre fiévreux qui met en scène des personnages d'une humanité bouleversante. »
« Dans la famille Claessens, je voudrais le père, chef d’orchestre redouté ; la mère, Yaël, chanteuse soprano d’origine israélienne ; le fils, David, violoniste virtuose et la fille, notre narratrice, Ariane, pianiste soliste de renommée internationale. Rythmé par les cinq mouvements de l’Opus 77 de Chostakovitch, Ariane, au fil de ses souvenirs va essayer de dénouer l’écheveau familial qui a conduit David, à l’issue d’une scène magnifique lors d’un concours en Belgique, à s’isoler du monde. Un très grand roman, aux multiples thèmes, sans fausse note et d’une intensité allant crescendo. » Jean-Baptiste Hamelin, libraire.
Page 16 sur 31